vendredi 27 avril 2007

Mozart

j'étais au milieu de nulle part. A quelques dizaines de mètres le groupe continue son chemin. Le sable soulevé me crible de toutes parts, le vent ne permet plus de voir l'horizon.
A ce moment dans les écouteurs de mon lecteur musical montent les notes du Lacrimosa de Mozart...
Mozart au milieu du désert... Etrange ?
Certainement pas... l'émotion à l'état pur... l'âme à nu devant l'immensité...
Le silence dans toute sa pureté...

Aucun commentaire: